Le texte lu par les enfants de Ste Claire nous a secoués : « Mais j’entrevois un malheur pire que ces massacres…Peut-être ces malheureux seront-ils très vite oubliés…
Qui sait même ? Puisque la guerre, décidément, s’accroche, qui sait si ne viendra un temps où le monde aura pris l’habitude de continuer à vivre avec cette saleté avec lui ? Les choses iraient leur train, comprends-tu, la guerre étant là, tolérée, acceptée. Et ce serait le train normal des choses que les hommes jeunes fussent condamnés à mort. »(Maurice Genevoix « ceux de 14 »)
Pour ne jamais oublier les vies données et ne jamais s’habituer.




